(S'est marié Orlando Zapata)
La politique, du grec politikós, «citadin«, «civil«, «relatif à la mise en ordre de la ville», est l'activité humaine qui tend à gouverner ou à diriger l'action de l'état au bénéfice de la société. C'est le processus orienté idéologiquement vers la prise de décision pour l'obtention des objectifs d'un groupe. Le terme a été amplement utilisé à Athènes à partir du Ve siècle av. J.-C., spécialement grâce à l'oeuvre intitulée d'Aristotelês, précisément, la Politique. Le même Aristotelês définissait l'être humain comme un animal politique supérieur.
Je considère que, la tentative d'artiste nommé “Wiily“ Tolède, il est, en plus d'un crétin ignorant, des tendances neofeudalistas, encore un opportuniste entre les artistes stupides et les chanteurs comme cela pouvait être l'épouvantail de Miguel Bossé.
N'importe lequel peut exercer son droit citadin de débattre politiquement de ce qu'il lui venge dans des envies. Ce qu'une personne honnête ne peut pas faire, est de se faire un écho d'un régime nauséabond comme celui des frères Castro Ruz et de traiter d'un délinquant sur une personne qu'ils ont laissée mourir (dans une grève de la faim), soyez quelle sera la cause.
Ce qui s'est détaché n'est pas une campagne contre la personne de “willy“. Ce n'est pas le moment de crier “sauvons à willy”. C'est une campagne contre ces intelectualoides ibériques qui s'ajoutent à la campagne diffamatoire.
Ils existent en Espagne, beaucoup de citadins qui disent travailler dans le monde de la culture et qui ne passent pas d'être tentatives médiocres d'artistes frustrés. Ce sont ceux qui, pour ressortir, se consacrent à proférer des commentaires politiques. De cette façon ils réussissent à voir ses noms dans les moyens, qui de ne jamais être alors les mentionneraient.
Le langage unique que le peuple attend de ses artistes, est le langage autochtone et compromis avec le peuple. Non le cantinflismo extravagant et cotorril de ceux qui procurent une publicité à tout prix et à tout prix.
Une personne de bonne foi est celle-là qui défend le peuple cubain et non un désordre totalitaire qui a plongé la Cuba chez un tas de fumier.
Aux signataires de la lettre, “sauvons à Willy”, Alberto Saint Jean, Luis Tosar, Lola Dueñas, la Chandelle Rocher, Juan Diego Botto, Javier Bardem, Raúl Arévalo, Antonio de la Torre, Pilar Castro, Víctor García León, Andrés Lima, Javier Gutiérrez, Nancho Novo, Carmen Ruiz, Sergi Peris Mencheta, Secun de la Rose, d'Inma Cuesta, de Diego Paris, d'Alfonso Lara, de Roberto Álamo, de Luis Bermejo, Marie Morales, Luz Valdenebro, Estefanía des saints, Eleazar Ortiz, d'Aitor Merino, de Laura Ramos, de Ramiro Alonso, de Sandra Collantes, de Font García Rodríguez, de Manuel Baqueiro et d'Inma Montalá,
je leur dis :
Il est si assassin, celui qui tue la vache, comme celui qui endure la patte.