Saturday, March 20, 2010

Des jeunes hommes lucenses avec incapacité demandent un appui pour être autonomes

Il aide détache que toute celle que plus de formation ils acquièrent une plus grande indépendance ils pourront obtenir dans la vie

J'appuie pour avoir un travail et pour vivre d'une manière indépendante dans mon propre logement sans la nécessité de disposer des soins familiers à chaque instant c'est le désir ardent principal de grande partie des jeunes hommes lucenses avec incapacité. Le désir est similaire à celui des personnes de son âge, mais pour qui ils souffrent d'une incapacité, soyez physique ou intellectuel, faire une réalité de cela «coûte toujours le double», comme il se détache d'une étude poussée récemment par le Cermi (le Comité Espagnol de Représentants de Personnes avec l'Incapacité) et comme le confirment les collectifs qui travaillent dans la province, comme Il Aide et Aspnais (l'Association de parents ou de tuteurs de personnes avec une incapacité intellectuelle).

Les occasions de travail, ainsi que les difficultés à l'heure d'étudier, à l'heure d'accéder à un logement ou à l'heure d'avoir une indépendance économique varient beaucoup en fonction du type et le degré d'incapacité, comme le souligne le gérant d'Aspnais, Manuel Fernández Santos. «Un physicien estropié - fait-il une déclaration - taille un impair ter tant de difficultés de se dérouler na la vie comme un intellectuel estropié qui un pôle xeral a besoin máis apoio». Aspnais a développé un existosa l'expérience pilote dans laquelle quelques intellectuels estropiés ont vécu quelques jours dans un étage avec un moniteur.

Pour González D'aigle, membre de barrières architectoniques d'Auxilia, si un jeune homme ne forme pas le suffisant, il ne trouvera pas de travail qualifié et ne gagnera pas assez pour avoir une plus grande autonomie personnelle. Selon son opinion, «, pour atteindre cette indépendance, il est indispensable d'étudier pour avoir un niveau et pour concourir sur le marché du travail». Le rapport du Cermi remarque que seulement 9 % des estropiés suivent des études universitaires. «C'est le merlan qui se mord la queue», commente-t-il D'aigle qui considère que «il manque le coup, la décision de ne pas rester seul avec la secondaire». Le protectionnisme excessif est l'une des causes de ce blocage, comme il détache Aspnais. «Ou plantexamento deux un pays é :" Quel vai être do noso fillo ou un jour que nós un impair esteamos ?"; mais à une question il doit être : "Préparons-nous aos nosos fillos pour ou un jour de mañá ?". Et à resposta é qu'un impair», ils précisent. Publié dans LA VOIX DE LA GALICE le 14 mars 2010

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